20 Octobre 2015
Quand on arrive sur un camp de migrants, c’est toujours un peu pareil.
Les mêmes regards, mélanges de curiosité et de sympathie.
Les mêmes visages, mélanges d’exotisme et de fatigue.
Les mêmes odeurs, mélanges de feu de bois et d’épices.
Les mêmes paysages, mélanges de campement et d’abandon.
Finalement, on a tous les mêmes besoins, les mêmes désirs, que l’on vienne de Nyala ou de Londres.